The House (2023)

HOMMAGE AU POETE AUX CHEVILLES GONFFLEES DE FRENCH-STREAM
Très chiant. Trop peut-on se dire au début. Mais ce n'est qu'un début et on espère rien au tournant, qui nous réconciliera avec la voie prise par le taré d'auteur, mais le début dure. Peu de repères tout con resentis dans cet ailleurs qui nous gave sans attendre et soit on s'enfuit soit on meure d'ennui. De m'être accroché je le regrette beaucoup: l'aventure est lamentablement ennuyeuse, autant d'un point de vue formel que ???? panne de dictionnaire désolé .

L'entité dans le noir, le monstre dessous le lit ( ma copine obèse ), gouverne la nuit:
Cette autre part qui s'amuse comme il peut, habituellement si familiers, est douée d'une vie chiante. Cette fois c'est elle qui traverse les êtres ( hummm c'est bon ), c'est elle qui les bite et ceux-là deviennent ses jouets, ses choses ses sex-toys en fait .
Pas de commentaire, pas d'explication; c'est tellement con ! les seules concessions que nous accorde le film: quelques paroles ici et là pour nous réveiller dans l'entrelacs de lumières traînantes (panne de courant merci enedis ) et de semi-ténèbres; cadrages et qualités d'images ( NON je rigole ) sont la matière ( la crotte en fait ) même de l'évènement. L'angoisse n'est plus un sentiment mais un lieu. Le spectateur, par nature exclu de l'endroit ( le chiotte ) doit pousser très fort huuu, patiemment, tout ce qui lui est révélé pour réaliser, autant que possible, ce très pénible périple auquel il a été convié comme un appel au secours ( ça c'est certain ) par ce qui reste de volonté dans les profondeurs de l'inconscient d'un ou de plusieurs membres de cette famille de débiles profond .
C'est remarquable de nullité , de vide , d'ennui, on a l'occasion (rarement donnée à ce point) d'observer, presque de vivre, un cauchemar dans sa durée paradoxale. Le film fait de nous des ahuris consanguins.

OUF je vais reprendre un prozac et vite au lit et merci chiengpt.